Un roman époustouflant dans sa progression. Sur fond de guerre, ségrégation et mœurs illégales, l’auteur nous dévoile la vie de ses personnages et les liens qui les unissent au compte gouttes. Ceci pour mieux nous entraîner dans l’inattendu jusqu’au moment ultime où l’on croit enfin détenir la Vérité. Mais finalement, n’est-ce pas notre propre vérité que l’on se forge à la lecture ? Malgré que la question reste sans réponse, une chose demeure certaine : ce livre ne parle que d’Amour !Emérance Bétis (Merci à Nadine de l'avoir présenté comme un coup de cœur)

Ce livre décrit bien les rouages de la dictature.

J'ai lu "Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates", et j'ai beaucoup aimé. C'est d'abord son drôle de titre qui m'a attiré vers ce livre: pensez-vous, chez les Alvaro, la patate, c'est sacré ! Le ton du roman l'est tout autant: Juliet est une jeune écrivain anglaise qui cherche désespérément le sujet de son nouveau roman. Elle en trouve un en or lorsqu'elle reçoit la lettre d'un habitant de Guernesey, qui lui parle de son cercle littéraire d'amateurs de tourtes aux épluchures de. S'en suit une correspondance assidue avec les autres membres du cercle, qui changera radicalement la vie de Juliet... Le propos, lui, l'est beaucoup moins (drôle): l'occupation et l'après-guerre, racontées sous forme épistolaire. Mais c'est là toute la force de ce livre: des situations dramatiques qui vous glacent le sang, traitées avec un humour tout britannique qui vous fait irrémédiablement sourire. Bref, c'est très bien.DD78

J'ai lu "Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates", et j'ai beaucoup aimé. C'est d'abord son drôle de titre qui m'a attiré vers ce livre: pensez-vous, chez les Alvaro, la patate, c'est sacré ! Le ton du roman l'est tout autant: Juliet est une jeune écrivain anglaise qui cherche désespérément le sujet de son nouveau roman. Elle en trouve un en or lorsqu'elle reçoit la lettre d'un habitant de Guernesey, qui lui parle de son cercle littéraire d'amateurs de tourtes aux épluchures de. S'en suit une correspondance assidue avec les autres membres du cercle, qui changera radicalement la vie de Juliet... Le propos, lui, l'est beaucoup moins (drôle): l'occupation et l'après-guerre, racontées sous forme épistolaire. Mais c'est là toute la force de ce livre: des situations dramatiques qui vous glacent le sang, traitées avec un humour tout britannique qui vous fait irrémédiablement sourire. Bref, c'est très bien.DD78

TRES BEAU LIVRE REMPLI D'EMOTIONS. A LIRE ET A PROPOSER A TOUTES LES GENERATIONS.

Ce DVD se compose de 8 films de 13 minutes chacun diffusés sur la 5 dans « Les maternelles », émission d?information pour les jeunes parents. Ils permettent de faire le point des connaissances sur les nombreuses et parfois incroyables capacités du f?tus et du nourrisson Chaque film est consacré à un sens ou un ressenti du bébé : comprendre, toucher, goûter, entendre, regarder, bouger, dire, sentir. Cependant les films mettent en évidence les nombreux efforts restant à faire pour convaincre tous les professionnels de cette nécessité. Des vérités parfois évidentes mais nécessaires à rappeler. Les 8 reportages alternent témoignages des parents, des soignants et des scientifiques et de longs moments d?observation des bébés. Sont également mis en lumière les nombreuses expériences et recherches menées ainsi que des lieux originaux qui mettent en pratique un réel accueil des parents et des bébés avec accompagnement. Un exemple : la bougeothèque : « laissez bouger les enfants !!! » Elvira Neto, médiathèque de Jouars-Pontchartrain

très cool

Je confirme, c'est un excellent film .J'ai été très touchée par cette comédie satirique sur les concours de beauté pour petites filles .Les personnages sont attachants et touchants .Ce film a aussi un coté dramatique , il nous montre l'absurdité de certain parent a vouloir impérativement faire élire leur petite fille reine de beauté.

Une famille américaine entreprend à bord d’un van un road-movie à travers la Californie. Le père « anti-losers », la mère consensuelle, le grand-père cardiaque et toxicomane, l’oncle suicidaire et le frère muet par choix accompagnent Olive, fillette de 7 ans. Elle rêve de devenir reine de beauté en gagnant le prix de Little miss Sunshine. Le voyage sera émaillé d’évènements imprévus, voire improbables.Un film qui épingle de façon souvent hilarante une certaine société américaine.Elvira - Jouars-pontchartrain

Suite à notre voyage au Mexique l'année dernière, je me suis dit "Tiens, si je découvrais un peu la littérature mexicaine ?". Je me suis donc lancée avec Carlos Fuentes et son recueil "En inquiétante compagnie". Ce livre est composé de cinq nouvelles, certaines plus inégales que d'autres, mais toutes ayant le mérite de nous plonger dans une atmosphère inquiétante conjuguant à la fois Occident et traditions mexicaines. Mention spéciale à "En bonne compagnie", où un jeune homme élevé en France revient à la mort de sa mère dans la maison de ses 2 vieilles tantines à Mexico, et essaye de comprendre leur mode de vie un peu bizarre ; "la chatte de ma mère", dont rien que le titre dérange un peu ; et "La belle au bois dormant", où un vieux monsieur bien intrusif vampirise la vie du héros. C'est bien écrit, sans fioritures extravagantes mais avec ce brin d'exotisme qui fait voyager. Bref, pas mal.

Très bel album sur l'amour inconditionnel des mamans. Jolies illustrations.

Il y a quelques années, j’ai eu la chance de découvrir les chutes du Niagara. Malgré l’énorme business qu’il y a tout autour, je suis quand même tombée sous le charme, alors c’est tout naturellement que j’ai voulu le retrouver en me plongeant dans « Les chutes » (ah ah !), de la nobelisable Joyce Carol Oates. Ariah est fille de révérend dans la très puritaine Amérique des années 50. A presque 30 ans, elle échappe enfin à son destin de vieille fille en épousant le sombre Gilbert, lui aussi membre de l’Eglise. Mais sa lune de miel va virer au cauchemar lorsqu’elle se réveille le lendemain des noces, seule dans sa suite nuptiale. Et pour cause : Gilbert s’est jeté dans les chutes au petit matin… Je ne vous raconte ici que le tout tout tout début de ce roman fleuve qui est en fait une saga familiale. On suit donc l’évolution de la « veuve blanche des chutes », telle qu’Ariah a été surnommée par la presse locale. Joyce Carol Oates a un talent indéniable de conteuse : elle sait à partir de rien construire un univers foisonnant de personnages et fourmillant de détails, ce qui ne le rend que plus addictif. J’ai adoré en plus que l’intrigue se situe dans l’Amérique des années 50, ajoutant à la nostalgie de l’ensemble. Bref, si j’avais trouvé « Blonde » du même auteur un peu longuet et soporifique, « Les chutes » m’a réconciliée avec elle. Je recommande.