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couverture de : La Guerre
Delphine A le Mercredi 30-04-2025
Je continue ma lecture de la super saga de Michael McDowell, « Blackwater », avec ce quatrième tome intitulé « La guerre ». Au tout début, il y a maintenant de nombreux mois (et oui, quand une série me plait, j’aime bien en étaler la lecture pour en profiter plus longtemps), bref, quand j’ai découvert cette saga et que j’ai regardé le titre de tous les tomes, je pensais que celui-ci allait traiter des relations plus que difficiles entre Elinor, l’étrange femme apparue dans la ville de Perdido lors de sa grande crue, et sa belle-mère la possessive Mary-Love. Il n’en est en fait rien, la guerre du titre faisant tout simplement référence à la seconde guerre mondiale. Le lecteur en découvre l’impact sur chacun des membres de la famille Caskey, que ce soit à travers l’activité accrue de la scierie familiale, ou bien avec l’installation d’un camp d’entrainement non loin de la ville, qui amène ainsi de nouveaux personnages, mais aussi de nouveaux drames… J’ai trouvé pour ma part que le fantastique était un peu moins présent dans ce tome que dans les précédents, même si il prend ici un tour inattendu (je me comprends). Mais peu importe, continuez de vous jeter sur les magnifiques livres de cette saga addictive, pour ma part je vais attendre encore un peu avant de me lancer dans le cinquième volume (cf remarque ci-dessus !).
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couverture de : La Maison
Delphine A le Dimanche 05-01-2025
Bon, et bien pas mieux que les autres pour ce 3ème tome de la série Blackwater: je l’ai dévoré en une journée ! On se remet vite dans le bain grâce à la plume ultra-efficace de Michael McDowell (il n’a pas été scénariste pour rien) : nous sommes toujours perdus au fin fond de l’Alabama dans la petite ville de Perdido, et la mystérieuse Elinor continue de mener un combat silencieux contre sa belle-mère Mary-Love, vieille dame possessive et autoritaire. Elle a été jusqu’à lui laisser sa fille ainée Myriam afin de pouvoir s’installer et vivre avec son mari Oscar et son autre fille Frances dans leur magnifique maison juste à coté. Mais cette dernière recèle bien des mystères… Je ne sais plus quoi vous dire pour vous encourager à lire cette super série : l’intrigue est prenante, les personnages attachants, il y a juste ce qu’il faut de fantastique, c’est facile à lire et les couvertures sont toutes plus sublimes les unes que les autres ! Just let’s go !!!
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couverture de : La Crue
Delphine A le Dimanche 15-10-2023
Cela faisait de longs mois que la magnifique couverture du premier tome de "Blackwater" me faisait de l'œil, alors je me suis lancée et pouf, dévoré en 3 jours ! Il faut dire que la trame réunit pas mal des sujets qui m'intéressent : Amérique profonde, saga familiale, et un peu de surnaturel. J'achète ! Nous sommes donc dans la petite bourgade de Perdido au sud de l'Alabama au début des années 20. Une terrible crue a submergé la ville, sur laquelle règne la famille Caskey grâce à sa riche scierie : il y a Mary-Love la maman possessive, Sister la jeune fille qui ne quitte jamais sa mère, et Oscar, le fils chouchou. Lorsque celui-ci sauve des eaux la singulière Elinor, on sent bien que les choses vont un peu se compliquer... L'écriture de Michael McDowell est simple mais rapidement addictive : les pages se tournent facilement, la trame se tisse inexorablement, les personnages prennent peu à peu de l'épaisseur. Vous l'aurez compris, j'ai adoré, et il me tarde de découvrir la suite ! Je recommande.
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couverture de : La Digue
Delphine A le Mercredi 29-05-2024
Cric crac croc… Je n’ai fait qu’une bouchée de ce second tome de la saga Blackwater, « La digue » !!! J’ai été ravie d’en retrouver tous les protagonistes, dont Elinor, la mystérieuse épouse d’Oscar apparue un des soirs de la grande crue qui avait ravagé la ville, et Mary-Love, la maman du même Oscar, qui ne voit pas d’un bon œil l’arrivée de cette rivale et enchaine les coups bas afin de garder fiston à porter de main. Elle met ainsi tout en œuvre pour permettre la construction de la digue qui protégerait Perdido d’une nouvelle crue, d’autant plus que sa belle-fille y est farouchement opposée (pourquoi ? Mystère, mais on se doute qu’il y a un peu de fantastique là-dessous). Cependant Mary-Love va se retrouver prise à son propre piège… Comme je vous l’ai dit, on prend les mêmes et on continue : chacun évolue, tisse sa toile dans cette petite ville perdue de l’Alabama. Il y a des nouveaux venus, des drames aussi, et on se demande où Michael McDowell va bien nous emmener dans les prochains tomes. Vite la suite !!!
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couverture de : Évariste
le Vendredi 20-06-2014
Monter sa boîte de conseil aux entreprises n'est pas chose facile. Quand on s'appelle Évariste Cosson et qu'on est spécialisé en recherche de paranormaux, ça complique encore les choses.Si la première proposition de travail sérieuse vous met en plus une organisation secrète à dos...Évariste est heureusement plus malin qu'il n'en a l'air, et plus séducteur qu'il le montre. Il sait se faire des alliés, en plus de ses ennemis. Il sait également s'occuper de cas (non payants mais) très gratifiants en aidant ceux qui en ont besoin. Avec tout ça, il n'est pas prêt de renflouer les caisses !Une galerie de personnages clichés au premier abord qui s'amusent à se révéler en profondeur au fur et à mesure de l'histoire. De l'humour, de l'action, de l'amour, des inventions ! Un bon thriller avec un fond fantastique.Par l'auteur du Baron noir (coup de cœur : http://shi-fu-mi.blogspot.fr/2013/06/le-baron-noir-lombre-du-maitre-espion.html).
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le Vendredi 30-05-2014
Lieu : BretagnePériode : Post-ApocalyptiqueVoilà le schéma qui pour l’instant n’est pas hyper vendeur. Mais ne vous méprenez pas, Alone est un bon petit roman qui ne fait pas que surfer sur la vague Post-Apo. Il en garde les codes (un héros solitaire libre qui poursuit une quête, un univers sombre, des tribus (armée, fanatiques, cannibales) et une ambiance glauque), mais il arrive à apporter une dose de « fraîcheur » à l’inverse de « la Route » par exemple. Ici, le héros est tout de même moins torturé et la nature est malgré tout présente. Il est selon moi à rapprocher d’un roman comme « Gueule de Truie » de Justine Niogret où certes le héros est différent mais le style d’écriture et le cours du récit sont dans la même veine. Je vous conseille donc de suivre Pépé, notre Alone qui ne veut pas se mélanger aux autres groupes, dans ses mortelles aventures et à la recherche d’une femme chère à son cœur, Grise.
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couverture de : Redshirts
le Samedi 23-08-2014
Dans Star Trek, entre autres, ils y a des tas de personnages secondaires. Mais siii, vous savez, ceux qui meurent de façon absurde, inattendue, bizarrement dans chaque épisode ! Oui, ce sont ces personne que Scalzi choisit dans Redshirts. Les chemises rouges, tous ces marins embarqués pour faire fonctionner le vaisseau d'exploration. Ceux qui sont généralement cachés derrière les quelques responsables, ceux qui ont parfois leur minute de gloire, pour mieux mourir après. Contrairement aux susdits chefs qui se tirent des situations les plus abracadabrantes.Nous suivons donc Andrew Dahl, jeune embarqué aux côté de 3 autres bleus sur l'Intrépide, vaisseau de l'Union Universelle. Leur enthousiasme est vite douché par le fonctionnement particulier du vaisseau, ses chefs peu impliqués, son matériel absurde et son équipage égoïste...Un hommage aux séries B de science-fiction. A lire si vous aimez Star Trek.A lire si vous n'aimez pas Star Trek. Ou même si vous n'aimez pas la SF.A lire avant d'avoir vu Galaxy Quest (apparemment après ce n'est plus la peine).Amusant et potache (amateur d'humour plus fin, passez votre chemin !)Pour moi, une nouvelle façon de voir les choses et de passer un bon moment...Mélanie, Méré
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couverture de : Maître de la matière
le Mercredi 29-01-2014
Un garçon et une fille se rencontrent au fil de leurs vies, à chaque fois comme poussés par leur destin.Le garçon s'intéresse au futur.La fille s'intéresse au passé.Pourtant leurs intérêts vont se rejoindre.Hiroshi, fils d'un blanchisseuse japonaise et d'un américain inconnu, bricole une poupée cassée dans sa chambre. Il réussit à la réparer et la rend à sa propriétaire. Passionné par les robots, il souhaite effacer la pauvreté de la planète. Il étudiera au MIT à Boston. Il tend vers le génie et ses capacités sont bientôt remarquées et mises à profit, d'un pays à l'autre. Les micros, puis nanorobots seront l’œuvre de sa vie. Qui est guidée par un fil rouge : Charlotte.Charlotte, depuis toute petite, est passionnée par les objets du passé. Elle y perçoit tout ce qu'ont vécu leurs propriétaires. Elle devient naturellement paléoanthropologue, persuadée que les hommes vivaient sur Terre il y a bien plus longtemps que ce que nos manuels le disent. Sa vie la mènera aux 4 coins du globe, à suivre des amis ou des amants, à retrouver Hiroshi. Jusqu'à l'île du Diable, qui abrite bien pire que l'ange déchu... Ou bien plus ! L'avenir ? ou le passé ?Un roman de 638 pages lues d'une traite (ne faites pas comme moi). Je ne dirais pas mieux que la quatrième de couverture : "Thriller économique et écologique, confrontation entre l’humanisme et l’évolution technologique, recours au fantastique spéculatif, voyages et archéologie, Maître de la matière reprend avec bonheur les grands thèmes d’Andreas Eschbach, dans la lignée de Jésus vidéo et d’En panne sèche."Une histoire ni trépidante (si, parfois) ni légère (parfois aussi), mais parfaitement addictive ! Heureuse découverte.
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couverture de : Le Baron noir : L'Ombre du maître espion
le Vendredi 20-06-2014
Paris, 1864. La révolution industrielle a eu lieu 100 ans plus tôt. Louis Napoléon Bonaparte (3ème du nom) est à la présidence. L’utilisation des dirigeables est en plein essor, très appréciée dans le commerce et le tourisme. Mais on cherche à rendre les appareils plus résistants et rapides : la guerre menace. C’est là qu’intervient le jeune héritier d’un empire industriel, Antoine Lefort, qui engage l’ingénieur Clément Ader, le passionné de l’ingénierie du « plus lourd que l’air ». Les plans de leur invention seront volés à l’aide d’oiseaux mécaniques, malgré l’intervention du mystérieux Baron noir, gentleman en armure…Idéal pour faire découvrir le Steampunk. 100 pages passionnantes avec un contemporain de Sherlock Holmes (et une forme similaire : le roman à épisodes), qui tiendrait plutôt de Batman et d’Iron Man. Cet opus forme un récit complet, mais les rumeurs du net disent qu’un 2ème serait en cours d’écriture… A ce prix, on aurait tort de s’en priver. Un vrai plaisir !Genre : Steampunk, uchroniePublic concerné : dès 12 ans >> 120 anscoup de cœur (même si la seule femme est la prostituée sauvée au début)
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couverture de : Mimosa
le Mardi 18-12-2012
moi je n'ai pas du tout accroché, probablement trop science fiction et pas assez réaliste ni crédible, bref j'ai abandonné aux 3/4 du livre (bel effort qd m^) LN
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le Vendredi 07-09-2012
« Mon Clint Eastwood intérieur va lui péter la gueule ! » P. Rahmy.Tessa dirige l’agence Two Guns Company. Tessa est différente des autres : elle ne cherche pas à ressembler à qui que ce soit. Entre Ed Harris et Crocodile Dundee, Jésus-Christ et Lambert Wilson, elle fait tâche. En poursuivant une silhouette au cours d’une affaire, elle se découvre des facultés suspectes et des bribes de son passé lui reviennent en mémoire… L’auteur de Cygnis réitère dans la quête de soi. Entre polar, science-fiction, histoire de mafias et action de guerre, il nous balade dans une Santa Anna végétarienne par obligation, ou chacun choisit son identité. Surprenant, unique, bourré de référence musicales, filmographiques et télévisuelles… celui qui en trouve le plus à le droit d’écouter l’excellente bande originale du livre sur http://mimosaworld.wordpress.com/2012/04/23/la-bande-originale-du-livre/ !
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