Liste des commentaires
couverture de : Terminus Malaussène
Delphine A le Mercredi 12-06-2024
Ah la la, ça y est, elle est vraiment finie cette saga des Malaussène ! Merci monsieur Pennac de nous avoir fait vibrer, rire, sursauter pendant toutes ces années avec les frasques malchanceuses de Benjamin, les aventures policières au sein de ce chouette village de Belleville, ainsi que les arrivées au fur et à mesure des livres des nouveaux membres aux prénoms toujours plus improbables. Ce dernier tome n’échappe pas à la règle, et réussit même le meilleur twist de toute la série grâce à un gratin dauphinois… Bref, si oh veinards vous ne comprenez rien à ce que je vous raconte, plongez-vous vite dans « Le bonheur des ogres », premier tome de la série, et régalez-vous. Pour les autres, consolez-vous avec ce denier livre qui clôt magnifiquement la série.
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couverture de : Le domaine de l heritiere
Brigitte G le Vendredi 17-02-2023
À dévorer sans modération
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couverture de : Il suffit de traverser la rue
Jean-Claude R le Mercredi 08-03-2023
Une description tellement réaliste de la mondialisation, et de ses répercussions sournoises dans le quotidien d'une entreprise ! S'ensuit le témoignage édifiant du parcours du combattant d'un "volontaire à la réorientation professionnelle". Drôle et grinçant à la fois.
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couverture de : Les sources
Delphine A le Mercredi 28-08-2024
Marie-Hélène LAFON a reçu en 2020 le prix Renaudot pour son roman « L’histoire du fils », mais c’est avec un autre livre que j’ai choisi de la découvrir : « Les sources », paru l’année dernière. En 3 dates et très peu de pages, elle nous raconte l’histoire d’un couple de paysans dans le milieu des années 60 : la mère, docile, soumise, qui tremble des sauts d’humeur de son mari ; lui, qui la considère comme une moins que rien et se réfugie dans son travail ; les enfants, qui grandissent tant bien que mal en s’accommodant de cette situation. C’est toute une époque qui nous est décrite ici, où le patriarcat était roi, la femme au foyer et tributaire de son mari, et la vie à la campagne conduite par le quand dira t-on. L’écriture est ciselée, elle peut paraitre simple au premier abord, mais c’est ce qui fait en fait sa force : en peu de mots elle décrit des situations terribles, angoissantes, révoltantes. J’ai aimé qu’avec son choix de raconter son histoire en 3 dates l’auteure donne la parole au père, éclairant le lecteur sur son comportement. Bref, c’est un livre je l’espère sur un temps révolu (quoi que), témoin d’une époque. J’ai beaucoup aimé.
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couverture de : Mortel un jour, mortel toujours !
Noam C le Samedi 08-07-2023
Cool
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couverture de : La fin d'une ère
Delphine A le Vendredi 10-05-2024
Aaaahhh… Snif… A y est, c’est finiiiiii… Je viens de terminer le dernier tome de la saga des Cazalet, et je suis très triste de me dire que je ne vais plus partager la vie de Polly, Edouard, Louise et de tous les autres. Je trouve qu’Elizabeth Jane Howard a réalisé une prouesse, en nous faisant partager sur plus de 15 ans la vie de cette nombreuse famille bourgeoise anglaise, sur une période charnière, à savoir la seconde guerre mondiale et tous les bouleversements qu’elle a ensuite engendré : le travail des femmes, la fin des domestiques, et la disparition des privilèges de certains notamment. Ce cinquième et dernier tome a été écrit longtemps après les quatre autres, mais il est étonnant de ne voir aucune rupture dans la narration, bien au contraire : l’auteur joue avec les multiples personnages qu’elle a imaginé, et nous régale de ces petites histoires du quotidien qui délicatement nous en disent long sur la société. Bref, un énorme coup de cœur que j’ai dévoré.
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couverture de : Quelque chose à te dire
Mylène G le Jeudi 25-01-2024
Un thriller qui nous tient jusqu'au bout. On se s'attache très vite à Elsa, le personnage principal et on vit ses émotions jusqu'à la fin du roman où comme elle, on comprend ce que veut dire la phrase "vous comprendrez à la fin du film". Ce roman mérite bien sa place au Prix des Lecteurs 2023-2024.
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couverture de : Les enfants endormis
Delphine A le Dimanche 02-06-2024
Les années 80 et le SIDA. Cela peut paraitre lointain à présent, mais les séquelles de la maladie peuvent parfois toujours être présentes. C’est le cas pour Anthony Passeron : dans sa famille de l’arrière-pays niçois, il y a cet oncle dont personne ne parle jamais, ces histoires de famille que l’on tait, et qui insidieusement marquent les générations. Il décide alors de mener l’enquête, et de retrouver la trace de ce fils de boucher qui rêvait d’autre chose que d’une petite vie provinciale. On découvre ainsi comme l’oncle Désiré a plongé dans la drogue, et de fil en aiguille (ah ah) dans la maladie… A ce récit très personnel, Anthony Passeron a eu l’intelligence de mêler l’histoire de la maladie, des premiers recensements auprès des médecins à la découverte du virus : c’est ainsi le récit d’une course contre la montre pour essayer de sauver les malades, mais aussi d’une lutte d’influence entre différents pays pour en tirer gloire et reconnaissance. C’est cette partie-là que j’ai trouvé la plus passionnante, même si l’autre, plus personnelle, m’a beaucoup touchée. Bref, une lecture poignante, touchante et instructive.
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couverture de : Beyrouth-sur-Seine
Agnès L le Vendredi 17-03-2023
Les libanais disent que celui qui dit connaître le liban n'a rien compris du tout. L'auteur ne dit pas mieux mais avec lui, on approche quelques vérités sur le Liban. C'est aussi un bel hommage de l'auteur à ses parents. Vraiment à lire.
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couverture de : La Bibliothèque des rêves secrets
Amélia R le Mercredi 02-04-2025
Lecture percutante et douce à la fois.
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