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couverture de : 1Q84
le Mercredi 23-10-2013
Je viens (enfin!) de finir "1Q84 livre 3 Octobre-Décembre", et j'ai eu bien du mal... Suite et fin des aventures de Tengo l'écrivain mathématicien et d'Aomamé la tueuse prof de sport: pendant que l'un se débat avec son passé et ses souvenirs pour essayer d'avancer, l'autre est traquée par les précurseurs et doit se terrer. Vont-ils finir par se retrouver? Et quitter ce monde parallèle de 1Q84 pour retrouver la vraie année 1984? Va-t'on enfin comprendre quelque chose à cette histoire de Little people? Bref, vous l'aurez compris, ça tire un peu en longueur, et 3 tomes de 500 pages n'étaient pas nécessaire, si ce n'est pour évaporer la magie et la poésie du récit. Car en fait dans ce 3ème tome, il ne se passe pas grand chose, si ce n'est dans les 50 dernières pages, normal il faut bien conclure. Dommage.DD78
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couverture de : Et puis, Paulette
le Mercredi 11-09-2013
Un petit roman attachant et pétillant, qui nous raconte une histoire de solidarité entre personnes de toutes générations. Un livre très agréable à lire, tout en finesse et douceur .Bibliothèque de Bazoches
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couverture de : Trop loin la mer
le Mercredi 22-02-2012
Beau récit du parcours d'une adolescente qui se cherche. Un roman avec une lueur d'espoir sans être nièvre.
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le Samedi 18-02-2012
Jolie histoire, d'une jeune fille perdue, en éternelle fuite. Abandonnée par son père, sa mère a bout l'envoie dans un foyer en Dordogne.
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couverture de : Mademoiselle Scaramouche
le Vendredi 20-04-2012
Nous sommes en 1672. Zinia, fille de maître d'arme, voit son destin basculer : à la mort de son père, elle apprend qu'elle ne serait pas celle qu'elle croyait être. Elle entame une enquête pour découvrir sa véritable identité et le mystère que cache sa naissance. Pour ce faire, elle portera le masque et l'épée dans une troupe de théâtre ambulant : ceux de Scaramouche. Ils l'emporteront dans des aventures rocambolesques ! Une demoiselle haute en couleurs, des capes et des épées, des méchants vraiment méchants, tout est là pour nous obliger à continuer notre lecture coûte que coûte ! De 12 à 120 ans.Mélanie, Méré
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couverture de : Deux
le Mercredi 29-02-2012
"DEUX" d'Irène NEMIROVSKY La guerre finie, la jeunesse dorée se jette à corps perdu dans le plaisir. Une seule règle, profiter de chaque instant et s'étourdir.La jeunesse de l'après-guerre s'oppose à toutes les formes de convention bourgeoise.Passant d'une soirée à l'autre, les jeunes pensent au mariage mais rêvent de passion. Les couples se font et se défont. Se croisent parfois.Irène NEMIROVSKY dépeint avec une extrême finesse l'érosion des sentiments et la corruption des corps.Le mariage, irrémédiable solitude, offre néanmoins avec le temps à chacun des conjoints, une certaine forme de paix.De beaux passages, comme celui-ci : "Que les êtres nous demeurent fermés, inconnus, mystérieux ... Et pourtant, si nous observons volontiers le secret vis-à-vis d'autrui, il existe des créatures humaines auxquelles nous voudrions passionnément laisser de nous une image fidèle. Ce sont nos enfants
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couverture de : Silence
le Vendredi 13-01-2012
Jules prend un jour 2 cachets d'ecstasy pour impressionner une fille, avant de sombrer dans le coma quelques instants plus tard. Quand il se réveille, à l'hôpital, les médecins lui apprennent qu'il a perdu l'audition totalement. Plongé dans le monde du silence, Jules décide de faire face. Mais dira-t-il qui lui a fourni la drogue ? Roman adolescents court, précis, sans concession. Emmanuelle
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couverture de : La petite
le Mardi 20-12-2011
Un matin, une petite fille âgée de 12 ans vide un tube de somnifère et tous les autres médicaments de l?armoire à pharmacie avant de se rendre à l?école. Elle assiste aux cours jusqu?en fin d?après- midi avant d?être accompagnée à l?infirmerie par une de ses camarades. Sa maman appelée vient aussitôt la chercher. Une fois chez elle le médecin l?ausculte, mais les cachets agissent, elle s?endort profondément. Le lecteur est transporté quatre ans en arrière lorsque la petite avait huit ans. Par le biais d?un récit à la première personne le lecteur intègre parfaitement le corps et les pensées de la petite. Peu à peu, les événements de sa vie nous expliquent la raison de ce geste désespéré qui n?est pas ? en raison du nombre de cachets avalés- un appel au secours mais une volonté ferme de rejoindre l?au-delà et d?en finir avec la vie. Très émouvant, le roman insiste sur le fait que les sentiments ne sont pas proportionnels à l?âge. Bien heureusement, la fin est positive: l?acte mortuaire physique donne lieu à une renaissance psychologique. Elody - médiathèque de Beynes
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couverture de : American psycho
le Samedi 12-05-2012
J'ai lu "American Psycho" de Bret Easton Ellis, et suis (encore !) déçue ... Grosso modo, un yuppie new-yorkais des années 80, pété de thune et fan de Donald Trump, se détend en massacrant des clodos, nanas et autres potes. On m'avait parlé d'un roman fort, dérangeant. Moi j'en retiens surtout le coté répétitif. OK, cela sert à bien planter le personnage, le vide qui entoure sa vie et son esprit (complétement accro aux marques ce mec!), mais en tant que lecteur c'est quand même plus que rébarbatif. Il y a certes les crimes bien dégueus qui font froid dans le dos, la reflexion sur l'argent qui ne fait pas le bonheur, mais 520 pages pour ça, c'est long !DD78
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couverture de : Veuf
le Mercredi 03-12-2014
Mais qu'est-ce qu'elle a été lire un livre comme ça, allez-vous dire... Il est vrai que le titre, "Veuf", ne fait pas tout de suite sauter de joie. Mais il est écrit par Jean-Louis Fournier, auteur qui a le chic pour nous raconter sa vie avec ironie et humour, et parvient même à nous faire sourire avec ce sujet difficile. Alors oui il a perdu subitement sa femme, oui c'est difficile de se retrouver tout seul, mais la vie continue. Et heureusement que les bons souvenirs sont là pour s'y raccrocher dans les moments les plus durs. Une belle hommage à la femme qu'il a aimé en tout cas.
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couverture de : Accabadora
le Mardi 08-11-2011
Dans les années 1950, en Sardaigne, Tzia Bonaria, une couturière, accueille chez elle Maria et lui apprend le métier. Très vite Maria est intriguée par cette vieille femme qui s'absente la nuit. Tout le village est au courant que Tzia abrège la vie des mourants mais pour Maria c'est un choc. Une belle histoire délicate et réaliste sur la vie et la mort. Une écriture très sobre, tout en nuances, qui nous transporte dans la Sardaigne des années 50. On est avec ces villageois, sur le pas de leur porte ou éclairés à la bougie.
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