J'ai lu "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi", de Katherine Pancol, et je suis un peu moins déçue qu'avec les 2 opus précédents. Il s'agit pourtant de la vie très très compliquée des mêmes personnages: Joséphine la quadra toujours pas sûre d'elle qui se la complique bien (un beau mec riche et amoureux à dispo, mais non, je préfère attendre...); sa fille Hortense qui est vraiment trop forte comme styliste, fait la meilleure école de Londres et coiffe tout le monde au poteau; Shirley sa meilleure amie qui est en fait la fille cachée de la reine et qui a un gros problème avec les hommes; et j'en passe et des meilleures, je pourrais en écrire comme ça des pages et des pages, d'ailleurs l'auteure elle ne s'en est pas privée, puisqu'elle nous gratifie de près de 850 pages de cette lecture passionnante (sic)... mais comme je l'ai dit, j'ai été un peu moins déçue car je savais à quoi m'attendre, et ça se lit gentiment par fragments pendant que les enfants se bagarrent à coté, ça ne gêne pas à la compréhension... Bref, je les ai lus, mais maintenant pour moi Katherine Pancol c'est fini ! (youpi)DD78

J'ai lu "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi", de Katherine Pancol, et je suis un peu moins déçue qu'avec les 2 opus précédents. Il s'agit pourtant de la vie très très compliquée des mêmes personnages: Joséphine la quadra toujours pas sûre d'elle qui se la complique bien (un beau mec riche et amoureux à dispo, mais non, je préfère attendre...); sa fille Hortense qui est vraiment trop forte comme styliste, fait la meilleure école de Londres et coiffe tout le monde au poteau; Shirley sa meilleure amie qui est en fait la fille cachée de la reine et qui a un gros problème avec les hommes; et j'en passe et des meilleures, je pourrais en écrire comme ça des pages et des pages, d'ailleurs l'auteure elle ne s'en est pas privée, puisqu'elle nous gratifie de près de 850 pages de cette lecture passionnante (sic)... mais comme je l'ai dit, j'ai été un peu moins déçue car je savais à quoi m'attendre, et ça se lit gentiment par fragments pendant que les enfants se bagarrent à coté, ça ne gêne pas à la compréhension... Bref, je les ai lus, mais maintenant pour moi Katherine Pancol c'est fini ! (youpi)DD78

Je n'aime pas trop les bande-dessinées. Je trouve que les histoires racontées sont souvent simplistes sur un volume, les scénarios cousus de fil blanc, les personnages peu fouillés. Mais "Le bleu est une couleur chaude" m'a donné tort. L'histoire de la jeune Clémentine, qui découvre son homosexualité à travers sa rencontre avec la mystérieuse Emma, belle aux cheveux azur, est bouleversante. Bouleversante de simplicité tout d'abord, car 2 êtres qui s'aiment, qu'y a t'il de plus simple ??? Bouleversante de douleur également, car on traverse avec l'héroïne tout le questionnement qui va avec l'amour lesbien (suis-je normale -ou pas-? Pourquoi ne suis-je pas comme les autres? Ce que je fais est-il bien?). Bouleversante de bonheur, car c'est ça l'amour aussi, non? Et enfin bouleversante de tristesse, les histoires d'amour finissent mal, c'est bien connu... Bref, ce livre m'a beaucoup touchée.DD78

Un roman graphique où l'on reconnait bien le crayon de Pénélope Bagieu, ainsi que son esprit féministe : son héroïne ne se laissera pas faire ! Pourtant au début tout n'est pas rose pour Zoé : entre un mec reloud et un job de potiche, elle ne sait pas quoi faire de sa vie ni dans quelle direction aller. Et puis au hasard d'une balade elle croise le regard de Thomas, bien caché derrière sa fenêtre. L'amour n'est pas loin, mais n'est-ce pas en fait qu'un divertissement ? J'ai bien aimé l'histoire, et le final en "tel est pris qui croyait prendre". Bref, bien envie de continuer à découvrir les albums de la demoiselle.

BD drôle et colorée contrairement au thème :)

J'avais bien aimé "Peau d'homme" du même Hubert, alors j'ai voulu connaitre ce qu'il avait fait avant, c'est comme cela que je suis tombée sur "La chair de l'araignée", qui date de 2010. Les deux héros de cet album se ressemblent physiquement beaucoup, ils ont d'ailleurs le même problème : l'anorexie. Leur rencontre par hasard chez leur psy commun va leur ouvrir une porte vers l'espoir, qu'un seul des deux saura malheureusement passer... Un sujet grave donc, mais que j'ai trouvé pour ma part traité de manière trop alambiquée et confuse : à force de faire se ressembler les deux personnages, on ne sait plus trop qui est qui, et on finit par ne pas comprendre grand chose. Attention, il y a aussi un ou deux passages un peu crus, à ne pas mettre sous les yeux des plus jeunes. Bref, pas terrible.

J'avais beaucoup aimé le film "le chant du loup", alors en me renseignant sur son réalisateur, j'ai découvert un homme assez éclectique : polytechnicien, diplomate, réalisateur et auteur de bande dessinée, rien que ça ! "Quai d'Orsay" compile donc deux de ses métiers, et j'avoue qu'il est assez jouissif de découvrir l'envers du décor politique : ministre incompréhensible, directives antagonistes, collaborateurs qui se tirent dans les pattes, il n'y a pas à dire, c'est un peu comme partout ! Par contre, en cette période gilets jaunes de mécontentement populaire, c'est un peu comme de rajouter de l'huile sur le feu... Enfin vivement le tome 2 pour savoir comment Arthur va s'en sortir dans cet univers impitoyable ("Dallaaaaassss"... !)

Dans la série des filles trentenaires bien dans leur époque je connaissais Joséphine de Pénélope Bagieu. Avec "J'aurais adoré être ethnologue...", j'ai découvert Margaux. Ici pas de célibataire, Margaux est en couple avec une petite fille, adore les fringues et Paris, et croque sa vie girly à pleines dents. A travers des planches que j'ai trouvé très drôles, elle traite avec décalage et donc humour de tous nos petits aspects/travers du quotidien : le couple, la maternité, les koupines, les parents, le sexe et même les règles ! Pas de tabou donc, on est dans la franchise rigolote. J'ai adoré, vivement la suite !

Margaux Motin, trentenaire, est illustratrice. Elle nous entraine avec bonne humeur et sans fausse pudeur dans son quotidien de jeune maman actuelle, fan de mode et de chaussures hors de prix, de confidences et de soirées en amoureux. Hilarant, pertinent et rythmé, Margaux manie l'autodérision à la perfection dans ce premier volume de ses aventures. A consommer sans retenue ! Sophie, bibliothèque de Beynes

Quatrième tome des aventures de Blacksad, "L'enfer, le silence" est un album très réussi. Cette fois-ci nous sommes en Louisiane, dans la magnifique ville de La Nouvelle Orléans, en plein carnaval (animalier, forcément !). Notre matou détective a été embauché par un vieux bouc pour retrouver un musicien virtuose mais un peu trop porté sur la coke. Là encore nous allons découvrir que les gentils ne le sont pas forcément, et que les méchants cachent bien leur jeu... J'ai trouvé cet album beaucoup plus accessible que son prédécesseur : l'histoire est compréhensible, moins complexe, mais tout de même captivante. J'ai adoré le graphisme sur La Nouvelle Orléans et le carnaval, ainsi que l'ambiance du vieux sud qui va avec. Blacksad est vraiment une belle série de BD, je recommande !

Je continue ma découverte des bandes dessinées de Jordi Lafebre avec "Lydie", album à la magnifique couverture sépia. Camille est simple d'esprit, et habite avec son père l'impasse du bébé à moustache, quartier vivant où tout le monde se connait. Quand la jeune femme accouche d'un bébé mort-né, les commentaires vont bon train. Mais lorsqu'elle décide de faire comme si son bébé était bel et bien vivant, son entourage rentre peu à peu dans son jeu... Cet album m'a beaucoup touchée, car d'un malheur terrible les auteurs nous montrent que l'amour et la bienveillance peuvent en adoucir les maux. Les personnages sont succulents, et j'ai beaucoup aimé les couleurs chaudes utilisées. Bref, de l'émotion.

Le voilà enfin ce final de "Quintett" ! Et bravo au scénariste, car je n'avais rien vu venir. Alors OK, cela reste tout de même un peu tiré par les cheveux, mais on se replonge quand même avec plaisir dans les aventures de nos 4 personnages, en se remémorant certains détails, et en se disant que ça ne serait pas mal de relire les albums finalement selon ce nouvel angle. Mais allez, je n'en dirait pas davantage pour ne pas vous voler le plaisir de la découverte.

excellent excellent