Liste des commentaires
couverture de : Le liseur du 6h27
le Dimanche 23-10-2016
Ca y est, moi aussi je suis montée dans le RER de Guylain Vignolles, et cela m'a fait du bien ! Notre héros ,par contre lui, ne l'est pas, bien : affublé de ce nom à la contre pétrie facile et malheureuse, il n'a jamais vraiment trouvé sa place dans notre société, allant même jusqu'à exercer un travail qu'il déteste au plus profond de lui-même : destructeur de livres. Pour se racheter, il lit tous les matins dans le train à voix haute les quelques feuillets qu'il a réussi à sauver de la machine qu'il pilote. Mais un jour, la trouvaille d'une clé USB sur son strapontin va changer sa vie... On est ici en plein dans le feelgood book, avec des personnages singuliers mais attachants, des situations saugrenues mais drôles, et quand on referme ce livre on se dit sans mièvrerie que la vie peut être belle parfois. C'est par contre un peu court, surtout sur la fin. En tout cas je me souviendrai longtemps de mon fou rire à la cafet' du boulot après la lecture de certaines pages ! Très sympa donc.
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couverture de : Le petit musée du rouge
le Samedi 08-11-2014
C'est un de mes garçons qui a choisi ce livre à la bibliothèque, et j'avoue que lorsque je me suis installée avec lui pour le lire, je ne pensais pas que cela lui plairait : en effet il contient 13 tableaux contemporains, chacun illustré par un poème; on est loin des histoires concrètes de la petite enfance ! Et bien contre toute attente, la magie des mots a opéré, les mots semblant les calmer et les envouter. Les tableaux (dont certains sont pourtant assez abstraits) ont été le prétexte à l'échange et à l'imagination. Bref, un beau moment de partage, et qui a de nouveau marché à l'identique avec mon autre garçon !DD78
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couverture de : Les trois soeurs et le dictateur
le Dimanche 24-04-2016
Je l'ai lu le temps d'un aller en train pour Paris, un livre très prenant à recommander aussi aux adultes.
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le Mercredi 25-06-2014
Mina jeune adolescente californienne découvre la République Dominicaine grâce à son beau cousin. Une rencontre avec le passé va lui permettre de comprendre les blessures de son père qui jamais ne fait référence à ses origines. Un court récit qui ouvre une page d'histoire sur la dictature de Léonidas Trujillo Molina qui a tenu son pays dans la terreur pendant près de 30 ans.Catherine
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couverture de : L'art d'écouter les battements de coeur
le Mercredi 18-05-2016
Cette histoire se déroulant en Birmanie, j'ai tout de suite été incité au voyage. Les paysages et les lieux principaux de cette histoire sont tellement bien décrits que j'ai voyagé tout le long. Cette histoire est tout simplement une merveille: je l'ai terminé hier avec beaucoup de regret car je me suis profondément attachée à Mi Mi et Tin Win. L'auteur a vraiment écrit une pépite, l'écriture est empreinte de poésie et d'une grande fluidité à la fois ce qui a rendu ce livre addictif. Cela fait longtemps que je n'avais pas eu un coup de coeur pour un roman, voilà chose faîte. Lisez-le...il est magique. Et Tin Win et Mi Mi sont encore avec moi aujourd'hui.
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le Samedi 27-02-2016
UNE JOLIE HISTOIRE QUI FAIT DU BIEN.
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le Samedi 16-01-2016
Un peu philosophique ce voyage en Birmanie. Un livre serein, poétique, émouvant. Un livre à lire, un livre à offrir. Un livre qui ne laisse pas indifférent. Est-ce l'ambiance asiatique? Est-ce l'amour qui en émane? On y est, on entend les tintements des cloches, on entend l'ambiance des marchés. Les effluves des fruits, épices, thé ... arrivent à nos narines. Vous ne serez pas déçus, lisez le !!! Un véritable coup de cœur.
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couverture de : Central Park
le Dimanche 06-04-2014
Guillaume Musso, auteur populaire, est plus connu pour la qualité de ses intrigues que pour ses qualités littéraires, quoique … Amateurs de suspense, vous allez être servis ici. L’évolution de l’intrigue est absolument inattendue et finit par vous fiche la trouille pour cause de plausibilité. Une nouvelle fois, Guillaume Musso nous tient en haleine du premier à l’avant dernier chapitres puis laisse entrevoir une lueur d’espoir bien pâle pour les écorchés de la vie.Emérance Bétis
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couverture de : Le passage du diable
le Lundi 28-09-2015
Livre ayant une atmosphère oppressante mais malheureusement la fin était quelques peu attendue; dommage mais livre sympa à lire tout de même...
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couverture de : Swing à Berlin
le Samedi 27-10-2018
On apprend beaucoup de choses grâce à ce livre, particulièrement sur le choix très sélectif des musiques autorisées durant la guerre. Il nous apprend également que l'on peut trouver d'excellents musiciens là où on s'y attend le moins...
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couverture de : Mémé
le Samedi 28-06-2014
Philippe Torreton, comédien de théâtre et de cinéma, rend hommage à sa grand-mère maternelle. "Mémé, ça ne se dit plus mais c'est ma Mémé ". Cette phrase résume à elle seule l'esprit du livre et de son auteur.Denise Porte, femme normande de la terre a fini, par obligation, à l'usine. Deux fois veuve elle a traversé la vie avec son lot de soucis, petits et grands avec abnégation, simplicité, modestie et grande générosité.Philippe Torreton raconte son enfance et son adolescence aux côtés de cette femme qui semble le personnage central de sa vie. Elle lui a appris la vie au travers de la nature, de tout ce qu'elle peut apporter matériellement (rien ne se perd) et dans sa propre construction d' homme, de citoyen et de comédien. Quelques pages sont consacrées à sa vision du théâtre. Un des moments les plus émouvants du livre raconte la venue de Mémé à la Comédie français pour une représentation de son petit-fils.L'auteur utilise des expressions choisies qui rappelle la vie de sa grand-mère : simples et percutantes qui touchent immédiatement et nous laisse une photo indélébile de ce personnage à la fois simple et hors du commun.Un livre sensible et tendre qui se lit en un clin d'oeil de Mémé et qui fait du bien.Elvira
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couverture de : Du bonheur
le Mardi 04-03-2014
Début 2013, je participai à la médiathèque de Jouars-Pontchartrain à un premier atelier intergénérationnel des nouvelles pratiques philosophiques sur le bonheur pour tenter d’en donner une définition.Début 2014, je dévore le livre « Du bonheur, un voyage philosophique » de Frédéric Lenoir. Ce dernier propose 2 définitions du bonheur, 1 en début d’ouvrage et 1 autre en fin d’ouvrage :1. Le bonheur, c’est la conscience d’un état de satisfaction global et durable dans une existence signifiante fondée sur la vérité. (Au sein de notre atelier : le bonheur est durable dans le temps et se construit. La vérité, quant à elle, a fait l’objet d’un autre atelier).2. Le bonheur, c’est aimer la vie. (Au sein de notre atelier : le bonheur, c’est avoir conscience de faire partie d’un tout, c’est d’être en symbiose avec la Nature).J'encourage vivement ceux qui liront ce commentaire de se procurer le livre de Frédéric Lenoir qui constitue une véritable leçon de vie tout en passant par des citations de grands philosophes et en faisant le lien avec différentes religions, autre spécialité de Frédéric Lenoir : ouvrage enrichi de sociologie et de neurosciences, abordable par tous.Emérance Bétis
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couverture de : Les carnets de l'aspirant Laby
le Mercredi 10-09-2014
Lorsque la première guerre mondiale est déclarée, soldat Lucien Laby a tout juste 22 ans. Il est issu d'une bonne famille bourgeoise Étudiant à l'école de santé militaire de Lyon, sa formation médicale lui vaut de recevoir le grade d'aspirant dans le groupe des brancardiers, au titre de médecin auxiliaire. En 1915 il devient médecin de bataillon chargé des premiers soins et des évacuations. Il prend part à l'offensive de Champagne, à la bataille de la Somme, puis à l'offensive du chemin des dames. En juillet 1917 il quitte les tranchées pour Belfort et poursuit sa guerre dans une ambulance chirurgicale automobile. En tant que médecin il aide désormais en sécurité aux opérations chirurgicales d'arrière-front.Il s'est retrouvé dans les pires endroits du front occidental; il évacuera les blessés dans les conditions les plus dangereuses et insoutenables sous les tirs, les bombardements et les gazages de l'ennemi. Là où d'autres se sont fait tuer, mutiler, Lucien Laby a survécu miraculeusement à l'enfer de la première guerre mondiale.Dès sa mobilisation, Lucien Laby écrit au jour le jour et dessine les poilus, leurs conditions de vie et l'enfer des tranchées et des combats, la mort la folie soudaine des soldats, les mutineries en 1917, en passant par les ordres incohérents des généraux.Plusieurs grands journaux lui achèteront régulièrement ses dessins satiriques, la plupart du temps, pour les publier.Les carnets de Lucien Laby sont un document exceptionnel. Décrivant l'essentiel de la guerre, sa violence. Ils sont aussi un exutoire de la violence, de la souffrance personnelle, du traumatisme de la mort, de la blessure des camarades mais aussi des rancœurs accumulées contre les chefs. Laby y confie également ses peurs.Un documentaire exceptionnel, très émouvant à lire.Gros coup de cœur
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