Liste des commentaires
couverture de : Loup gris et la mouche
Maud P le Samedi 01-06-2024
Une incontournable histoire pour petits et grands
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couverture de : Tout un été sans Facebook
le Samedi 30-06-2018
Je me demande bien ce qui est passé par la tête de ma belle-sœur lorsque qu'elle a choisi de m'offrir "Tout un été sans facebook" de Romain Puertolas...Bien sûr que je peux passer tout un été sans FB !!! Par contre pour le lieutenant Agatha Crispies, c'est plus difficile : elle vient d'être mutée dans le fin fond du Colorado, là où rien ne passe, ni téléphone, ni internet, et pour une new-yorkaise fan de donuts au chocolat, c'est dur à avaler (l'absence de réseau, pas les donuts). Il n'y a même pas de criminalité dans son bled, alors elle est obligée de tuer le temps entre son club de lecture qui peine à recruter, les séances de bronzette au bord du lac, et les donuts au chocolat. Jusqu'au jour où enfin !, un crime atroce est commis... Zéro prise de tête avec ce livre idéal pour les vacances, qui vous arrachera de bon cœur un sourire à la minute sans jamais vous prendre la tête. On suit l'enquête d'Agatha avec plaisir, mais l'objectif est surtout de nous divertir avec un tas de références et de réflexions sur notre époque. Bref, vous l'aurez compris, pas le futur prix Goncourt, mais un chouette moment de détente.
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couverture de : Le Prédicateur
Delphine A le Dimanche 14-03-2021
L'intrigue se situe toujours dans le joli village de Falbalack (!), mais cette fois-ci sous la canicule estivale. le corps d'une jeune femme torturée est retrouvée sur 2 squelettes ayant à priori reçu les mêmes sévices, et lorsqu'une nouvelle jeune fille disparait, c'est toute l'équipe du commissariat local qui se met à pied d'oeuvre, notamment en allant fouiller dans les vieux secrets de la famille d'Ephraim Hult, "le prédicateur"... Derrière cette enquête, on retrouve avec plaisir tous les protagonistes du tome précédent, et leurs petits tracas et leurs soucis du quotidien. L'écriture est efficace, presque parfois un peu trop cliffhanger (chapitres courts qui laissent sur sa faim et qui obligent à foncer au suivant), mais je l'ai comme l'autre dévoré !
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couverture de : Le dompteur de lions
Delphine A le Dimanche 14-03-2021
C'est un de mes rendez-vous lecture incontournables chaque année : le dernier Camilla Lackberg. Non pas que le contenu en soit transcendant (c'est même un peu toujours la même chose), mais par contre c'est un plaisir de retrouver les personnages que je suis depuis maintenant 9 tomes. Dans le dernier en date, "Le dompteur de lions", Erika enquête cette fois-ci pour son prochain livre sur une femme ayant égorgé son mari et séquestré sa fille comme un animal, pendant que son chéri le policier Patrick se retrouve lui face à des enlèvements de jeunes filles. le problème ? Elles ont subi de terribles mutilations... Comme d'habitude, les 2 trames vont se retrouver mêlées, et Erika va pouvoir donner de sacrés coups de main à son époux. Rien de nouveau donc chez Camilla Lackberg, mais le suspense est savamment distillé tout au long du livre et en rend sa lecture captivante. J'attends le tome 10 !
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couverture de : La Faiseuse d'anges
Delphine A le Dimanche 14-03-2021
J'ai bien aimé... On est toujours dans le petit village touristique de Fjallbacka, avec nos héros Ericka & Patrick. Et voilà t'y pas qu'un incendie criminel se produit dans l'ancienne colonie de vacances, que tentent de retaper Ebba et son mari. Rien de bien extraordinaire me direz-vous, sauf que 30 ans auparavant, toute la famille d'Ebba a mystérieusement disparu dans cette même demeure lors d'un déjeuner pascal. Les 2 évènements seraient-ils liés ? (je veux bien vous répondre, mais alors je spoile grave !). Quant on lit Camilla Lackberg, on est en terrain connu : on suit les mêmes personnages depuis maintenant 8 tomes, on s'y est attaché, forcément, alors cela nous pousse à continuer la lecture. Par contre au niveau intrigue c'est toujours les mêmes ficelles : une vieille histoire se répercute dans un crime ayant lieu de nos jours, et nos protagonistes qui suivent l'enquête ont des dons de divination exceptionnels (ils ont toujours le sentiment d'avoir raté quelque chose, de sentir qu'on leur ment, j'en passe et des meilleurs). Cependant ce 8ème tome est d'excellente facture, et m'a bien divertie pendant 10 jours. Bref, parfait pour les vacances.
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couverture de : Le cri
le Mercredi 13-09-2017
Bien écrit. Le suspense perdure jusqu'à la fin. Difficile de s'arrêter dans la lecture.
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couverture de : Je m'appelle Leon
le Mardi 31-01-2017
très beau livre; belles émotions ; on apprend beaucoup
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couverture de : Le rouge vif de la rhubarbe
le Lundi 29-01-2018
Je viens de réaliser un truc de dingue : je suis très attirée par les livres dont les titres comportent un nom de fruit, de fleur ou de légume (mes amies vont vraiment finir par me m’envoyer à l’asile !). Vous comprendrez donc pourquoi je me suis lancée dans la lecture du “Rouge vif de la rhubarbe”, d’Audur Ava Olafsdottir, dont j’avais d’ailleurs beaucoup aimé le “Rosa Candida” au printemps dernier. Nous sommes toujours sur la volcanique Islande, dans un village coincé entre la mer (froide) et la montagne (noire). C’est là que vit la jeune Augustina auprès de la douce Nina, qui prend soin d’elle pendant que sa mère écume le globe afin d’observer des oiseaux. Il y a aussi Vermundur, l’homme à tout faire qui répare tout ce qui lui passe entre les mains, Salomon, le fils de la nouvelle chef de chœur, et surtout cette montagne, du haut de laquelle Augustina aimerait bien observer le monde. Mais pas facile d’y arriver lorsqu’on a les jambes molles et des béquilles pour se déplacer... Ce livre est de nouveau un livre sur la magie du quotidien, les petits bonheurs qui le compose pour qui sait les déceler. Malgré son handicap, Augustina s’est construit un monde féérique et douillet, où même l’absence de sa mère la fait rêver. Le problème pour le lecteur, c’est qu’ici le charme n’opère pas, ou alors si peu... Cela manque de consistance, on s’ennuie un peu, et à la fin il n’en reste pas grand chose. Gros bof quoi.
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couverture de : Chanson douce
le Lundi 29-01-2018
“Une chanson douce, que me chantait ma maman...” Le titre du prix Goncourt 2016 m’a aussitôt fait penser à cette chanson d’Henri Salvador, que je fredonnais il y a quelques années la nuit à mes enfants pour les endormir. Le problème, c’est qu’après avoir lu ce livre, ce sont les mamans qui ne dormiront plus sur leurs 2 oreilles ! L’auteure, Lydia Slimani, a en effet eu le talent de concentrer dans ce livre toutes les peurs maternelles actuelles : la difficulté de concilier carrière et vie de famille, et la mauvaise conscience qui va avec ; ce besoin de liberté que l’on peut avoir parfois, freiné par le quotidien ; l’autre difficulté de déléguer la garde la journée de ses petits, avec cette relation ambivalente de confiance et de doute qui peut s’installer ; et puis l’impensable, la mort de son enfant... Le livre commence d’ailleurs comme ça : Myriam, en rentrant un après-midi plus tôt de son travail, trouve ses 2 petits étranglés dans leur chambre par la nounou. Après l’horreur, retour en arrière pour comprendre comment on en est arrivé là. L’écriture est simple, directe, quasi chirurgicale, complètement antagoniste avec les sentiments qui entrent en jeu. Bref, j’ai beaucoup aimé.
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couverture de : Le mystère Henri Pick
Agnès L le Vendredi 25-10-2024
Comédie bien ficelée et bien racontée
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