Liste des commentaires
couverture de : L'homme de Lewis
le Lundi 29-01-2018
Nouveau voyage pour moi dans le nord du Royaume Uni, sur l'archipel des Hébrides, avec le second tome de la trilogie écossaise de Peter May, "L'homme de Lewis". On retrouve notre héros Fin là où nous l'avions laissé à la fin du 1er opus, c'est à dire toujours aussi paumé suite à la mort de son fils. Il décide alors de larguer son boulot de flic et de revenir s'installer sur les îles qui l'ont vu grandir, ne sachant pas trop où tout cela va le mener. Jusqu'à ce qu'un cadavre momifié soit découvert dans la lande, et que le vieux père sénile de son amour de jeunesse soit le principal suspect... C'est avec un plaisir non dissimulé que l'on retrouve tous les personnages du 1er livre, ainsi que ce décor absolument fabuleux que sont ces îles perdues battues par les vents. Le thème des "homers" ici abordé est poignant : de jeunes orphelins catholiques envoyés loin de chez eux (et des protestants) pour servir d'esclaves dans des fermes paumées, c'était il y a 60 ans et pour de vrai. Le roman se lit bien, alternant les souvenirs du vieil homme et l'enquête de Fin. Par contre la fin est irréaliste et torchée en 3 pages : quel dommage ! Tant pis, je lirai quand même le dernier tome !
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couverture de : Frida et Diego au pays des squelettes
le Mercredi 17-04-2013
Au Mexique, le jour de la fête des morts, une grande veillée est organisée au cimetière. A cette occasion sont prévus chants, danses et offrandes pour les défunts. Les enfants s’amusent. Après une dispute avec son amie Frida, Diego, honteux s’enfuit. Soudain il disparaît, il est tombé dans une fosse. Frida se lance à sa poursuite, elle ne peut pas laisser son amoureux seul …c’est sous terre qu’ils découvrent par hasard des squelettes empli de dynamisme et de joie….Un album ravissant remettant à l’honneur des artistes. Deux célèbres peintres mexicains : Diego Rivera et Frida Kahlo et un célèbre graveur : José Guadaupe Posada. Elody - Bibliothèque de Beynes
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couverture de : Les années douces
Delphine A le Dimanche 19-01-2025
Je n'avais pas été top emballée par le premier tome, et bien je me suis ennuyée grave avec le deuxième... Pourtant il s'y passe plus de choses, mais non, rien à faire, la relation entre ce vieux professeur et son ancienne élève trentenaire mal dans sa peau ne m'a pas du tout intéressée. Le graphisme fourmille cependant de détails, mais l'ensemble reste à mes yeux plat et sans relief. Bref, vite oublié.
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couverture de : Une bonne épouse indienne
le Samedi 24-05-2014
Très troublant ce mariage arrangé ! Comment peut-on lorsqu’on est devenu américain et médecin de surcroît accepter un mariage forcé en Inde alors qu’on rejette sa propre culture ? Comment peut-on se marier avec une inconnue sans même être sensible à sa beauté et au risque de la prendre pour une naïve continuer de la tromper sans scrupule avec une blonde américaine ? Il faut posséder toute la finesse d’une indienne pour que Leila affiche cette patience et cette dévotion envers Neel afin de l’amadouer et sauver ainsi son mariage et sa famille. Émérance Bétis.
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couverture de : Le tout petit roi
le Samedi 05-04-2014
C'est surtout le graphisme qui m'a plu dans ce "Tout petit roi": il est en effet prétexte à mille commentaires, tout en étant assez abordable pour les enfants. Coté histoire, nous retiendrons que nous sommes plus heureux en famille que tout seul, et que cela permet de voir la vie sous un autre angle. Bref, très chouette.DD78
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couverture de : Catfish
le Vendredi 25-01-2013
Cet album raconte l'histoire vraie du petit esclave Scipio Catfiish, son combat et son parcours difficile vers la liberté. Maurice Pommier a su accompagner son magnifique texte d'illustrations magnifiques.Marie-Pierre
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couverture de : Bol d'air
le Samedi 24-11-2012
Hum...Nous aussi on reste dans l'expectative...des personnages peu attachants, un immobilise bien présent et une "happy end" quelque peu déconcertante...
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couverture de : La liste de mes envies
le Dimanche 14-04-2013
J'ai lu "La liste de mes envies" de Grégoire Delacourt, et je suis tombée sous le charme. Jo est mercière à Arras, et à 47 ans a eu une vie "normale", remplie de son compte de joies et de peines. Jusqu'au jour où l'impensable se produit: elle gagne 18 millions au loto. Commence alors pour elle une longue reflexion, sur évidemment tout ce que peut lui apporter une telle somme, mais aussi et surtout sur ce qu'elle peut finalement y perdre... Jo, c'est un peu nous: sous des abords communs, se cachent en fait une sensibilité et des idées insoupçonnées. Et on découvre avec elle que cette vie banale est en fait truffée de plein de petits bonheurs cachés, qui la rende infiniment précieuse. Bref, un livre plein de charme pour expliquer que l'argent ne fait pas le bonheur, même si ça, on le savait déjà.DD78
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le Mardi 03-07-2012
Qui n'a pas souhaite un jour de gagner au loto pour s'offrir tout ce dont il a envie .C'est ce qui arrive à une femme de 40 ans de condition modeste.Elle peut désormais avoir tout ce qu'elle veut.Mais cela lui fait peur et de quoi a-t-elle vraiment envie?Lui fallait-il tout cet argent pour être heureuse ? C'est un très beau roman qui peut nous faire réfléchir à ce qu'est vraiment le bonheur.
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couverture de : Le clos des épices
le Lundi 24-03-2014
je trouve que cette BD est très divertissante, très marrante et les dessins sont super Je la conseille mais aux plus de 10 ans
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couverture de : Les raisons de mon crime
le Mercredi 04-04-2012
"Boire un petit coup c'est agréable..." Certes, mais trop, encore plus le lendemain et c'est le gouffre!Pour les sensibles : s'abstenir. Ce livre est un coup de poing! les mots sont crus, ciselés, autant de flèches qui font mal. L'humour, noir bien sûr, est souvent présent. Malgré tout, faudrait-il dire...Se posent les problèmes de l'hérédité, de la déchéance, des failles et des déchirures prêtes à se rouvrir.Ce livre est noir, éclairé ça et là de quelques images d'enfance joyeuse, quand tout était encore possible.C'est aussi une mise en abyme de l'écrivain qui écrit sur un sujet dont il devient lui-même le miroir et se trouve aspiré dans la même déchéance (empathie ou tare familiale ?)Bref : ce livre fait partie de ceux que l'on n'oublie pas et que l'on peut maudire ou bénir.Marie-France - Pontchartrain
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