Liste des commentaires
|
1Q84
le Mercredi 23-10-2013
Je viens (enfin!) de finir "1Q84 livre 3 Octobre-Décembre", et j'ai eu bien du mal... Suite et fin des aventures de Tengo l'écrivain mathématicien et d'Aomamé la tueuse prof de sport: pendant que l'un se débat avec son passé et ses souvenirs pour essayer d'avancer, l'autre est traquée par les précurseurs et doit se terrer. Vont-ils finir par se retrouver? Et quitter ce monde parallèle de 1Q84 pour retrouver la vraie année 1984? Va-t'on enfin comprendre quelque chose à cette histoire de Little people? Bref, vous l'aurez compris, ça tire un peu en longueur, et 3 tomes de 500 pages n'étaient pas nécessaire, si ce n'est pour évaporer la magie et la poésie du récit. Car en fait dans ce 3ème tome, il ne se passe pas grand chose, si ce n'est dans les 50 dernières pages, normal il faut bien conclure. Dommage.DD78
|
|
1Q84
le Samedi 11-05-2013
J'ai lu "1Q84 livre 1 avril-juin" et ai bien aimé. En 1984, Aomamé est une trentenaire célibataire prof de gym, secrétement tueuse à gages. Tengo est un prof de maths solitaire, écrivain à ses heures. Ils ne se cotoient pas, mais tous les 2 ont en commun d'essayer de se protéger au maximum des affres de la vie, et semblent mener leur existence "en transparence". Mais cette vie finira par les rattraper, et remettre en cause tous les principes qu'ils s'étaient imposés pour s'en protéger, à tel point qu'ils se demandent s'ils ne sont pas dans un monde parallèle, en 1Q84... Vous l'aurez compris, il est extrêmement difficile de résumer ce livre, tant les thèmes abordés sont divers: la solitude, les sectes, les mathématiques, la violence faite au femmes, l'édition, le fantastique... C'est avant tout un livre d'ambiance, où l'auteur prend le temps de planter ses personnages, de monter une ambiance, délicatement. Bref, un bon compagnon de voyage.DD78
|
|
Les amants du spoutnik
le Dimanche 16-03-2014
Comment dire ? J’ai dévoré mais je suis quand-même restée sur ma faim ! Une jeune femme japonaise étant entrée récemment dans ma famille, je cherche à connaître un peu mieux son pays. Je m’attendais à travers le roman phare de Haruki Murakami à voyager au plus profond du Japon alors que sous influence occidentale, il nous entraîne plutôt en Europe et plus particulièrement en Grèce. Certes, solitude et amour y sont subtilement décrits jusqu’au rêve ou jusqu’au dédoublement du corps et de l’esprit mais les protagonistes d’Asie y sont-ils si différents que ceux qui auraient été occidentaux ? L’homosexualité y est néanmoins abordée sous une forme très intimiste qui doit demeurée cachée du public au Japon. J’aurais aimé en savoir plus sur la disparition de Sumire et sur le mystère qui enveloppe Miu !Emérance Bétis de Jouars-Pontchartrain
|