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couverture de : Dead dead demons dededede destruction
Ludovic P le Samedi 29-01-2022
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans la série mais on finit par s'attacher à ces ados sur fond de société en pleine déliquescence. J'attends la fin de la série avec impatience. .
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couverture de : Dédale T.1
le Jeudi 29-03-2018
Reika et Yôko, deux jeunes colocataires, sont passionnées de jeux vidéo. Les voici propulsées dans un monde parallèle qui semble inhabité et sans issue. A elles de découvrir comment sortir de là, et à quel prix ? Voilà un manga où la réalité se mêle au virtuel, à moins que tout ne soit que virtuel ? Un brin d'angoisse, beaucoup de suspens, le tout saupoudré de mystère, une très belle recette pour un manga seinen en 2 tomes. C'est aussi un coup de cœur des libraires japonnais. A découvrir !
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couverture de : Les mémoires d'un chat
le Mardi 12-06-2018
Amoureux des chats', laissez vous tenter. Voyages et émotions garantis.
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le Mardi 24-04-2018
Amoureux des chats ou non, ce personnage à quatre pattes peut vous ravir! Poésie dans les voyages, belles pages de délicatesse et d'amitié, humour et émotion. Un régal que l'on aimerait continuer après la fin.
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couverture de : Le gang des rêves
le Lundi 12-03-2018
L'american dream dans sa violence, sa liberté, ses prises de risques, sa ténacité, sa créativité, ses tremplins pour des destins exceptionnels et réversibles.. J'ai adoré!
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couverture de : Le nouveau nom
le Dimanche 31-03-2019
J'avoue que j'avais été un peu déçue par le premier tome de la saga d'Elena Ferrante, "L'amie prodigieuse". J'ai cependant persévéré avec ce second tome, "Le nouveau nom", et j'ai drôlement bien fait ! Nous avions quitté Léna et Lila au mariage de cette dernière, lorsqu'elle s'aperçoit que celui qu'elle épouse l'a trahi. On découvre ici sa difficile nouvelle vie conjugale, ainsi que celle de Léna qui en parallèle poursuit ses études, dans le doute et en se posant un milliard de questions. Elle est toujours secrètement amoureux du ténébreux Nino, alors lorsqu'elle découvre que celui-ci doit passer ses vacances sur l'île d'Ischia, elle propose à son amie Lila souffrante de l'y accompagner pour s'y refaire une santé. Mais les évènements vont prendre une toute autre tournure... On est toujours dans cette Italie napolitaine des années 50, avec ses quartiers populaires où l'on découvre qu'il ne fait pas bon y naitre femme : juste bonnes à marier, à faire des enfants, et à obéir à des maris qui peuvent sans problème ni remord devenir violents. C'est surtout cela je trouve que dénonce le livre. On retrouve aussi cette amitié compliquée entre les 2 héroïnes, mais qui en réalité retranscrit très bien les relations toxiques qui peuvent parfois s'exercer entre 2 filles/femmes, avec cette lutte de pouvoir souterraine pour savoir qui prendra le dessus de l'une sur l'autre. Bref, beaucoup mieux, et vivement le tome 3 !
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couverture de : Cadavres chinois à Houston
Delphine A le Mercredi 07-04-2021
4ème tome de la série chinoise de Peter May, « Cadavres chinois à Houston », malgré son titre bien pourri, est un assez bon cru. Il a le mérite de cette fois-ci inverser les rôles et ainsi placer nos protagonistes sur le sol US, en plein cœur du Texas en plus, on peut difficilement faire plus ricain ! Notre chère Elisabeth tente donc de refaire sa vie loin de son Li (ah ah) en prenant un nouveau poste à l’université de Houston. Mais ce qu’elle ne sait pas, c’est que de son côté le bel inspecteur a demandé sa mutation à l’ambassade chinoise de Washington, dans l’espoir de la retrouver. Bon, Houston-Washington, ce n’est pas franchement la porte à côté, ça doit être pour cela qu’il n’a jamais franchi le pas. Quoi qu’il en soit, vous me voyez venir avec mes gros sabots, figurez-vous qu’une cinquantaine de clandestins chinois sont retrouvés morts dans un camion à la frontière mexicaine, qu’Elisabeth est amenée à réaliser les autopsies, et que Li vient mener l’enquête pour le gouvernement chinois. Ces deux-là se retrouvent donc, et doivent affronter ensemble le spectre d’une pandémie mondiale… Pourtant écrite en 2002, l’intrigue est terriblement d’actualité et résonne tristement auprès du lecteur de 2021. Je vous rassure, ici tout est bien qui finit bien, et on aura même passé un bon moment de lecture, avec en plus un twist final qui nous fera lire (bientôt) le tome suivant ! Bref, j'aime bien Peter May.
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couverture de : Aristote et Dante découvrent les secrets de l'univers
le Mardi 27-10-2015
J'ai beaucoup aimé cette lecture. Nous rencontrons Aristote, surnommé Ari, 15 ans et vivant avec sa maman, professeur et son père, ancien soldat ayant combattu au Vietnam. Ari a également des soeurs et un frère, plus âgé, qui est en prison. Ce sujet est tabou. Ce frère semble inexistant: pas de photos, pas de discussions à la maison et cela fait beaucoup de peine à Ari, qui se cherche comme tout adolescent et aurait probablement aimé avoir un modèle pour grandir et se trouver. Ari aimerait pouvoir échanger avec ses parents sans gêne, en effet, son père cache ses douleurs de guerre par des silences et sa maman se terre dans son rôle de maîtresse de maison pour éviter de confier les siennes. Un jour à la piscine, il rencontre Dante, adolescent du même âge. Il est tout l'inverse de lui:quand Ari est en colère, Dante sourit, quand Ari se rebelle, Dante, lui est sensible. Dante a une excellente relation avec ses parents, les émotions s'expriment et le partage est omniprésent. Dante est fils unique. Au fil des contacts, ils vont devenir amis et Ari trouve en Dante un véritable allié. Tous les deux veulent répondre à toutes les questions que l'univers leur pose et lorsqu'ils ne sont pas ensemble, éloignés géographiquement, ils s'écrivent et s'interrogent l'un, l'autre, sur leurs pensées. Un lien très fort naît entre eux sans que Ari soit en mesure de l'expliquer. Il se mettra même en danger pour sauver Dante d'un accident malheureux. Ce livre est très bien écrit, l'auteur se met réellement dans la peau d'adolescents pour raconter son histoire. Certains passages sont poétiques, d'autres plus concrets. Nous sommes partagés entre le rire, la stupeur notamment lors d'un passage, la tendresse et l'instinct de protection envers ces deux garçons. Quelque chose m'a manqué pour créer le coup de coeur en moi, toutefois. Je pense que je m'attendais à plus de poésie, peut-être un style un peu moins jeunesse mais l'histoire d'Aristote et Dante reste belle, sincère et juste. Ce livre est donc une belle découverte.
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couverture de : Les nuits de laitue
le Dimanche 29-11-2015
Je viens de finir "Les nuits de laitue" de Vanessa Barbara, et j'ai beaucoup aimé. Déjà, rien que le titre m'a plu, ces nuits faisant référence à celles d'insomnie du brave Otto, lesquelles sa douce femme Ada essaie de soulager en lui faisant des tisanes de laitue pour trouver le sommeil... Car c'est en fait une belle histoire d'amour qui nous est racontée là, pas une du genre passionnelle où les 2 héros tombent amoureux l'un de l'autre, non, mais une de celles où les sentiments et la tendresse accompagnent la vieillesse des 2 amants. Jusqu'au jour où Ada meurt. Et là Otto se retrouve démuni, dépourvu devant ce vide et ce manque. Heureusement pour lui (et pour nous !), l'action se passe au Brésil, dans une petite ville peuplée de personnages tous plus rocambolesques les uns que les autres, et qui vont doucement ramener Otto à la vie. Ce premier roman est tendre, nostalgique, quelques fois mystérieux (et oui !), et en tout cas très réussi. En plus la couverture de Zulma est une nouvelle fois très belle ! Je recommande.
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couverture de : La quatrième apprentie
le Vendredi 01-05-2015
Super livre ! J'ai adoré le lire !
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couverture de : Le meilleur des mondes
le Mardi 19-06-2018
Ouh la la, que j'ai eu du mal... Pourtant "le meilleur des mondes" d'Aldous Huxley est l'une des références de la littérature SF, mais non, je n'ai vraiment pas accroché. Je suis tombée de suite dans le travers "on parle de choses sans les expliquer" (les deltas-moins, les garnisseurs, T.S.F.), ce qui m'a rendue difficile l'entrée dans le roman. Et puis ce style un peu pompeux, avec lequel on ne sait jamais si l'on doit rire ou pleurer... Pourtant cette société décrite par Huxley est pleine d'idées : plus de femmes enceintes, les bébés sont fabriqués dans des usines selon 5 castes différentes, puis conditionnés durant leur enfance afin de remplir toute leur vie le rôle qui leur a été assigné, aidés il est vrai d'un peu de "soma" afin de les droguer quotidiennement et donc de ne pas les laisser trop réfléchir... Pour un roman écrit en 1932, que de prémonitions ! Mais cela n'a pas suffi à m'emballer plus que ça. D'ailleurs quand je vois le mal que j'ai eu à écrire ce billet, cela veut tout dire ! Bref, dans le même registre j'ai largement préféré "1984" de George Orwell.
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