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couverture de : Ce n'est pas mon chapeau
Marie-Astrid B le Mercredi 24-05-2023
Un coup de cœur pour cet album à l'humour décalé. De quoi interloquer et faire sourire les enfants, et pas que...MAB
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couverture de : Nouveau Départ
Delphine A le Mercredi 28-09-2022
Quel plaisir de retrouver la famille Cazalet avec ce quatrième tome de la saga, intitulé « Nouveau départ ». Car c’est bien de cela qu’il s’agit, une fois la guerre finie : comment retrouver une certaine normalité ? Nos protagonistes se rendent compte que beaucoup de choses ont changé, que la société a évolué, et que leur place parmi elle est à faire ou à refaire. Ainsi Ruppert, de retour de France, qui ne sait ni comment se comporter ni quoi dire à sa femme Zoé après toutes ces années d’absence ; tout comme elle qui se remet difficilement du suicide de l’amant qu’elle avait pris alors ; il y a également le séduisant Edward qui finit par se décider à quitter sa femme pour sa maîtresse, et qui finira par le regretter ; Et cette même maîtresse qui épousée devient encore plus jalouse de cette famille à laquelle elle n’appartiendra finalement jamais ; et puis il y a les cousines Louise, Polly et Clary, qui après avoir tant attendu de devenir adultes et indépendantes se retrouvent face aux difficultés de la vie… C’est vrai que lorsque l’on n’est pas dedans, les histoires ci-dessus peuvent paraitre futiles et sans intérêt. Mais c’est sans compter le talent d’Elizabeth Jane Howard, qui réussit la prouesse de faire vivre tous ces destins en parallèle et de nous les rendre passionnants, dans une période qui l’est tout autant : l’après-guerre. C’est fin, délicat, parfois long peut-être, mais terriblement addictif, et fortement révélateur de la condition féminine de cette période. Snif, plus qu’un tome et c’est fini !
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couverture de : Etés anglais
Delphine A le Samedi 25-07-2020
Attention, coup de coeur ! J'achète très rarement des livres à leur sortie, mais celui-là m'avait tapée dans l'oeil, alors j'ai craqué. Nous sommes dans l'Angleterre de 1937, et en ce début d'été tout le clan Cazalet se prépare à se réunir dans la grande maison de campagne du Sussex : il y a le Brig, le patriarche à la tête de l'entreprise familiale de négoce de bois, qui commence à perdre un peu la vue ; la Duche, son épouse, très prise pour s'occuper de son jardin, un peu moins pour les problèmes de son mari ; Hugh, le fils aîné rescapé et traumatisé de la grande Guerre, qui surprotège sa femme quite à la rendre malheureuse ; Edward, le cadet volage qui ennuie pourtant son épouse au lit ; Rupert, le benjamin veuf remarié à une jolie capricieuse ; et puis leurs femmes, enfants, cousins et domestiques, qui font que cette fresque donne une bonne idée de la vie de riches bourgeois anglais à la veille d'un nouveau drame mondial... "Étés anglais" est le premier tome de la saga des Cazalet, écrite par Elisabeth Jane Howard il y a 30 ans. Sous des abords qui peuvent paraître futiles, on découvre peu à peu les joies et les drames de cette tribu so british, ce qui la rend d'autant plus attachante. Bref, vivement le mois d'octobre pour lire le second tome !
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couverture de : La constellation du chien
Brigitte G le Dimanche 16-06-2024
Étonnant, original, violent, poétique, personnages en survie dans un environnement partiellement détruit où l'humain est confronté au danger et à l'urgence..
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couverture de : Dans la forêt
Delphine A le Dimanche 26-07-2020
"Dans la forêt", de Jean Hegland, est un livre de fin du monde, beau et poignant. Nell et Eva sont deux adolescentes qui vivent avec leurs parents dans leur maison au milieu des bois. Elles vont bien quelques fois à la ville, mais se plaisent mieux à étudier et rester chez elles. Un jour le téléphone se met à ne plus fonctionner, puis l'électricité. La famille s'adapte, mais les séjours à l'hôpital de leur maman malade vont faire réaliser aux deux jeunes filles que le monde ne tourne plus comme avant... Je ne sais pas si je vais être très claire, mais j'ai trouvé ce livre "minéral" : la forêt et la nature sont archi-présentes dans tout le récit, en faisant presque un personnage à part entière, que les deux héroïnes apprennent à connaître. On n'est parfois pas très loin de "My absolute darling", de Gabriel Tallent, avec cette même relation ado-forêt. C'est également l'autre chose que j'ai aimé dans ce livre, l'adolescence décrite à travers les expériences de Nell et Eva  : premier amour, études, avenir, relations aux parents, cela a réussi à me ramener (bien) des années en arrière, et rien que pour cela je remercie Jean Hegland ! Et je me suis demandée ce que moi aussi j'aurais fait, seule dans forêt... Bref, j'ai beaucoup aimé.
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couverture de : Le dimanche des mères
le Mercredi 21-03-2018
“Le dimanche des mères”, c’est ce jour particulier en Angleterre où les domestiques des grandes maisons avaient le droit exceptionnel de prendre leur journée afin de rendre visite à leurs familles. Et dans ce pays douloureusement touché par la 1ère guerre mondiale, cela n’était pas rien. Graham Swift choisit de se pencher plus particulièrement sur le personnage de Jane, jeune femme de chambre, qui profite elle aussi de cette belle journée de 1924. Mais ce que ses patrons ne savent pas, c’est que Jane est orpheline, et va en fait rejoindre secrètement le fils de leurs amis, dont elle est depuis quelques temps la maitresse. La jeune domestique pénètre donc pour la première fois dans la demeure de son riche amant, mais aussi pour la dernière : Paul doit se marier quelques jours plus tard... Malgré ce pitch assez romanesque, le livre est en fait bien plus profond que cela : il décrit un monde destiné à disparaitre, où une jeune femme décide de braver discrètement les interdits. La lecture peut au début paraitre creuse, mais gagne peu à peu en profondeur au fur et à mesure que le personnage de Jane s’étoffe. Et on est finalement surpris par le chemin où nous mène cette histoire. Bref, un petit moment de délicatesse toute british pour les fans d’un temps révolu.
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couverture de : L'intérêt de l'enfant
le Samedi 16-01-2016
Roman bien écrit (et bien traduit) qui permet de se pencher sur le côté moins connu des procès, côté juge. Ce personnage qui nous semble bien souvent inaccessible, se retrouve ici abordable. On peut même s'identifier à cette juge. Qu'aurai-t-on fait à sa place?
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couverture de : Une saison à Longbourn
le Mercredi 17-12-2014
Début du 19 ème dans un petit village prés de Londres, la vie d'une famille bourgeoise mais surtout celle des domestiques , leur travail , leur condition de vie, leurs joies, leurs souffrances, leur amour tout y est.Un bon livre pour ceux qui aiment les romans de Jane Austin, les personnages viennent tout droit de la famille BENNET dans Orgueil et Préjugés.Denise
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le Samedi 29-11-2014
Je dois avouer que j'ai été ravie de pouvoir lire ce roman. Raconter la vie des domestiques était une idée originale. J'étais donc impatiente de découvrir l'histoire de la vie des Bennet. Le roman en lui-même est très beau. Le service à l’attention des maîtres de la maison, et du personnage de Sarah, qui attend une vie meilleure pour elle. A lire absolument, vous passez une excellent moment.Mimi
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couverture de : L'art d'écouter les battements de coeur
le Mercredi 18-05-2016
Cette histoire se déroulant en Birmanie, j'ai tout de suite été incité au voyage. Les paysages et les lieux principaux de cette histoire sont tellement bien décrits que j'ai voyagé tout le long. Cette histoire est tout simplement une merveille: je l'ai terminé hier avec beaucoup de regret car je me suis profondément attachée à Mi Mi et Tin Win. L'auteur a vraiment écrit une pépite, l'écriture est empreinte de poésie et d'une grande fluidité à la fois ce qui a rendu ce livre addictif. Cela fait longtemps que je n'avais pas eu un coup de coeur pour un roman, voilà chose faîte. Lisez-le...il est magique. Et Tin Win et Mi Mi sont encore avec moi aujourd'hui.
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le Samedi 27-02-2016
UNE JOLIE HISTOIRE QUI FAIT DU BIEN.
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le Samedi 16-01-2016
Un peu philosophique ce voyage en Birmanie. Un livre serein, poétique, émouvant. Un livre à lire, un livre à offrir. Un livre qui ne laisse pas indifférent. Est-ce l'ambiance asiatique? Est-ce l'amour qui en émane? On y est, on entend les tintements des cloches, on entend l'ambiance des marchés. Les effluves des fruits, épices, thé ... arrivent à nos narines. Vous ne serez pas déçus, lisez le !!! Un véritable coup de cœur.
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couverture de : Par un matin d'automne
le Lundi 05-09-2011
Fin des années 1990. Leonora Galloway entreprend un voyage en France avec sa fille. Toutes deux ont décidé d'aller à Thiepval près d'Amiens, au Mémorial franco-britannique des soldats décédés durant la bataille de la Somme. Le père de Leonora est tombé au combat durant la Première Guerre mondiale, mais la date de sa mort gravée sur les murs du mémorial, le 30 avril 1916, pose problème. Leonora est en effet née près d'un an plus tard. Une belle histoire sur fond de guerre 14-18 ,un meurtre inexpliqué ,des complots familiaux ,c'est un livre bien écrit ,l'histoire est bien structurée et vous tient jusqu'à la dernière page . Denise Bibliothèque de Bazoches sur Guyonne
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